2022 – EP – Tu ne les as jamais entendus crier, mais ils crient
« L’EP est une histoire continue qui évolue sur six chansons où l’électro-pop et l’horrorcore se métissent pour donner une trame anxiogène. Ce qui est intéressant, c’est qu’on se sent un peu au centre de la trame comme si c’était nous qui étions pris dans la situation. Un peu comme si c’était un album, dont on était le malheureux héros. »
Louis-Philippe Labrèche, Les EP à LP de mai 2022, Le Canal Auditif
« Audacieux mélange de pop de d’horrorcore, le EP se déploie sur 6 morceaux, 6 chapitres qui racontent l’évolution pandémique d’une envie de violences horriblement contagieuse. Frôlant le récit dont vous êtes le héros, le texte invite l’auditeur à plonger dans une aventure sur laquelle il n’aura aucun contrôle. »
12 sorties à ne pas manquer en mai 2022 !, Tabarnak!
« L’idée de ce projet, une évolution pandémique, était bien implantée chez le duo avant que la COVID-19 fasse son apparition. Zéa et Ma-Au ont commencé à y travailler en 2019. D’ailleurs, ceux qui apprécient le côté revendicateur de La Fièvre seront servis, car « l’âme revendicatrice du duo trouve toujours son chemin, peu importe les thématiques abordées ». »
Myriam Bercier, La Fièvre annonce un mini album d’horreur pour la mi-mai 2022, Le Canal Auditif
2022 – VIDEOCLIP – Un démon me cherche
« Depuis plus d’une semaine, La Fièvre titille ses fans sur leurs réseaux sociaux quant à un nouveau vidéoclip. Ce dernier est désormais disponible. Réalisé par Juan Frank Hernadez, le clip de Un démon me cherche présente la paire dans une église. »
Myriam Bercier, La Fièvre Un démon me cherche, Le Canal Auditif
2021 – CONCERTS
« Irrévérencieusement féministes, les musiciennes abordaient des thèmes engagés et ésotériques, combinant l’aspect planant d’une dark synth-pop avec la fougue d’un rap aussi poétique que rythmé et mordant. Le duo montréalais a revisité les chansons phares de leur album homonyme et présenté quelques nouveaux titres dans un spectacle dynamique où la complainte du thérémine s’entrelaçait à leurs voix tantôt narquoises, tantôt graves. Tout au long de leur performance, on se sentait plongé.e.s dans la Nuit, le genre de nuit où l’on célèbre le Sabbat, où les louves rôdent sous la pleine lune. On aurait d’ailleurs bien pris le tout à minuit le soir, pour danser en transe jusqu’à l’aube. »
Marie-Ève Fortier, La Noce 2021, Écoutedonc.ca
2021 – VIDEOCLIP – Faudra faire mieux
« Preuve que la qualité compte davantage que la quantité, le vidéoclip a été entièrement produit par le duo de La Fièvre et Alexandre Turgon-Dalpé. Avec Jean-Vital Joliat à la réalisation et au montage, en plus de Naomi Laroque à la conception des costumes, le quintuor a réalisé une œuvre audiovisuelle captivante pour accompagner un travail musical impressionnant. »
Mackenzie Sanche, La Fièvre : tarot et rébellion en une œuvre audiovisuelle, Projection Culturel
« L’un de nos projets montréalais favoris revient en force, et ce, à notre plus grand plaisir! La Fièvre dévoile aujourd’hui un tout nouveau vidéoclip de la pièce Faudra faire mieux, issue de son fantastique album éponyme paru à l’Halloween 2020. L’énergique chanson nous avait marqué·e·s à l’époque et le sentiment demeure le même. Explosives à souhait, les rythmiques initient le mouvement alors que le chant nous foudroie avec une puissance et une justesse surnaturelle. »
Louis Paulhus, La Fièvre – Faudra faire mieux (vidéo), Mes enceintes font défaut
« À mi-chemin entre le vidéoclip et le court-métrage expérimental, La Fièvre et son équipe vont au-delà du simple support de chanson et utilise avec inspiration les moyens à sa portée pour ajouter une autre dimension à sa proposition artistique. Le résultat est une bonne réponse à l’invitation du titre de l’oeuvre. »
Patrice Caron, La fièvre – Faudra faire mieux, Pan 306
« Réalisé de manière indépendante avec les moyens du bord, le duo d’électro féministe La Fièvre, formé de Zéa Beaulieu-April et Ma-Au Leclerc, voit ses efforts récompensés à l’international. Et on comprend! Les Montréalaises ont livré un vidéoclip tout simplement captivant, à la direction photographique digne des grands festivals cinématographiques. »
Eloïse Léveillé-Chagnon, La Fièvre se démarque en Inde et en Italie, Le Canal Auditif
« La Fièvre est une formation envoûtante qui nous présentait, le 21 avril dernier, leur tout dernier projet vidéo intitulé Faudra faire mieux. Entièrement produit par La Fièvre et Alexandre Turgeon-Dalpé, le projet a été réalisé par une petite, mais solide équipe. Ce qui se voulait d’abord être un simple clip est devenu rapidement un projet plus ambitieux vacillant entre film expérimental et vidéoclip tourné entièrement en pellicule 16mm et Super8. »
Nouveautés d’artistes d’ici – semaine du 26 avril 2021, Le Sanctuaire
2020 – ALBUM – La Fièvre
« Le moins que l’on puisse dire c’est que nous restons suspendus aux mots de ces deux créatrices inspirantes qui n’ont pas fini de nous faire rêver…et danser! »
Flavie Boivin-Côté, La Fièvre: Prédestinées à faire danser!, Projection Culturel
« Il y a dans ces quelques chansons un authentique feu. Un désir d’inciter chacune à s’affirmer à sa manière, une envie de motiver les troupes (« C’est toi la bête la plus dangereuse de la forêt », clament-elles dans Goddess, qui compte sur la participation de Backxwash, lauréate récemment du prix Polaris). »
Alexandre Vigneault, Prose Combat, La Presse +
« Ce tout premier album est l’exemple ultime de l’ingéniosité de La Fièvre qui surfe sur sa complicité ahurissante pour nous en mettre plein la vue et les oreilles. Que ce soit avec le chant rapide, impressionnant et empreint de confiance de Zéa ou avec les rythmiques cinglantes et plus qu’originales construites par Ma-Au, les deux musiciennes montrent une nouvelle fois l’importance de leur apport dans l’écosystème musical montréalais et québécois. »
Louis, La Fièvre, Mes enceintes font défaut
« Car la principale force de La Fièvre est avant tout au niveau des textes, dans les prises de position féministes et environnementalistes qui sont plus que bienvenues dans cette conjoncture. Il faut dire que Zéa Beaulieu-April est déjà connue des milieux littéraires militants pour avoir entre autres cofondé la revue poétique Fermaille pendant la grève étudiante de 2012. Pas étonnant de voir resurgir dans La Fièvre un propos politique habile, d’une grande force poétique, qui arrive à se détacher des clichés qui plombent souvent de telles prises de paroles. »
Gabriel Vignola, La Fièvre, Le Canal auditif
« Zéa Beaulieu-April, du duo électropop La Fièvre, ronge aussi son frein : « On a des racines militantes, on donne souvent des spectacles de financement ; ça fait vraiment partie de notre démarche de nous impliquer pour des causes qui nous tiennent à cœur. En ce moment, on n’a pas l’occasion de faire grand-chose, alors qu’on a l’impression que tout arrive en même temps », dit la musicienne féministe et écologiste qui lancera le premier album, résolument militant, de La Fièvre le 30 octobre. »
Philippe Renaud, Le blues du musicien engagé, Le Devoir
« La Fièvre a la percussion qui claque comme un fouet et le propos cinglant, ouvertement politique. Chant incantatoire et machines sont tout ce qu’il lui faut pour concocter une potion spéciale de synth-pop noire et dansante, un pont spectral entre agressivité et recueillement, un code secret de reconnaissance. »
Sophie Chartier, La Fièvre, La Fièvre, Le Devoir
« L’implacable et abrasif tandem formé de Ma-Au Leclerc et Zéa Beaulieu-April, toutes deux originaires de Rimouski, fonce tête baissée avec cette collection de titres de pop électronique hargneuse et exploratrice. Une musique pensée pour danser ses frustrations grâce à ses percussions épineuses et à ses sonorités dark-synth inspirés de la mouvance post-punk. »
Eloïse Léveillé-Chagnon, La Fièvre annonce un premier album, Le Canal auditif
2020 – FRANCOUVERTES – Participation et demi-finale
« Le premier album homonyme des deux musiciennes présente des synthés souvent décapants et des sonorités obscures portant néanmoins à la danse. Féminisme, écologie, audace et singularité : entrez dans les grandes profondeurs musicales de La Fièvre… et dansez! »
La Fièvre : électro sombre, exploratoire… et dansante, Ici Musique
« Les deux Rimouskoises s’inspirent des thèmes du féminisme ainsi que de la crise écologique pour écrire leurs chansons, mais s’écartent de la gravité que peuvent inspirer ces sujets pour plutôt célébrer les femmes qui prennent part à ces luttes. »
Zoé Bellehumeur, Deux Rimouskoises aux demi-finales des Francouvertes,
Ici Bas-Saint-Laurent
« Nuages de fumée, cris de loups et hargne canalisée. Le duo d’électro-rap à forte influence dark-synth La Fièvre débarquait finalement comme une apparition mystique. C’est avec autant de présence qu’à sa première prestation sur les mêmes planches il y a deux semaines que Zéa Beaulieu-April (chant, thérémine) et Ma-Au (synthétiseurs, drum machine) ont enflammé le cabaret. »
Eloïse Léveillé-Chagnon, Les Francouvertes 2020 — Demi-finales 1, Le Canal auditif
Finalement, c’est au tour des deux « sorcières contestataires » de La Fièvre de nous présenter leur travail. Le duo montréalais nous a livré un spectacle puissant autant sur le plan des textes que de la mise en scène boucaneuse qui colle très bien à la spooky season en approche. »
Jean-François Hébert, Francouverte 2020 – Demi finale soir 1, Sors-tu?.ca
« C’est dans un nuage de fumée qu’est apparue La Fièvre pour disséminer son électro-rap audacieux. On comprend rapidement pourquoi le groupe et Backxwash se sont rapidement entendus : des projets de sorcières qui osent proposer des initiatives musicales qui sortent des cadres traditionnels. »
Louis-Philippe Labrèche, Les Francouvertes 2020 – soir 5, Le Canal auditif
« Après deux chanteurs un peu statiques, c’est toute une claque de voir Zéa Beaulieu-April occuper l’ensemble de l’espace de son charisme. Elle chante, elle rappe, elle scande, elle jouit. Parfois, tout ça se retrouve dans la même chanson. On y sent une tendance entre The Knife, Peaches, le mouvement punk féministe Riot Grrrl des années 90 et la réincarnation de toutes les femmes qui ont été accusées d’être des sorcières à une certaine époque. Le groupe a collaboré avec Backxwash cet été pour la pièce Goddess et le mélange est absolument naturel.[…] Il s’agit d’un groupe mature, à la vocation claire et aux revendications limpides. Bref, le seul groupe qui puisse faire une chanson semi-érotique qui se nomme Écoféministe et en faire un des meilleurs moments des Francouvertes. »
Estelle Grignon, Francouvertes 2020 -Soir 5, le folk et La Fièvre, Sors-tu.ca
« Concrètement, La Fièvre c’est Yelle sous amphet dans un sous-sol berlinois. Zéa Beaulieu-April, hypnotisante, danse et scande les textes en interpelant le public, avec le soutien de Ma-Au Leclerc aux machines. Les filles ont des choses à dire, et des choses sur le coeur, et ça se sent. Elles sont survoltées. Tous les maux sociaux actuels passent à travers leur plume, pulsés par des beats lourds et sauvages (et des notes de thérémine de temps à autre). »
Emma, Francouvertes soir 5, RockNFool
« Their highly anticipated follow-up to their debut EP, 2017’s Le Rituel, will signal the revival of Canadian dark-wave, following in the footsteps of homegrown 2010s staples like Austra and TR/ST. This show is a great opportunity to catch the francophone group before they pop all the way off. »
Ten Acts You Can’t Miss at Pop Montreal, Exclaim!
« Cette semaine, nous avons interviewé Zéa et Ma-Au, les deux cofondatrices du duo montréalais La Fièvre, qui ont le désir de créer un monde à la fois musical, visuel, performatif et dansant à travers leur musique. »
Éric Dumais, « Dans la peau de… » Zéa et Ma-Au du duo montréalais La Fièvre, Bible Urbaine
« Le duo est capable de créer des pièces aux ambiances glauques et oniriques. Mais deux chansons parues l’année dernière montrent que le groupe est capable de frapper fort. Les pièces Survivante et La marge sont bâties sur des rythmes électroniques et des claviers, avec un côté non sans rappeler la musique électroclash de Peaches. La marge en particulier fait partie de ces chansons synthétiques qui semblent traitées comme une chanson punk revendicatrice. »
Estelle Grignon, Les Francouvertes 2020 reprennent!, Sors-tu.ca
« Les Rimouskoises d’origine Zéa Beaulieu-April et Ma-Au Leclerc ont initié leur projet La Fièvre il y a environ une décennie. Reconnu pour «ses performances endiablées et sa petite tendance à la sorcellerie», le duo montréalais propose une chanson sensible, poétique et tumultueuse »
Olivier Boisvert-Magnen, Les 21., Voir.ca
2019 – PERFORMANCES
« Montreal natives La Fièvre are spearheading the show, and if their latest release la marge survivant is any indication, their show will neither be to be forgotten or missed. The duo have been carefully and selectively releasing a tight, cohesive collection of their dark, experimental synth pop tracks over the past few years, and they just keep getting better. La Fièvre’s sound reaches across hip-hop, noise, pop, new wave and house music to form their experimental, wholly original brand of self-described “dark art-pop.” The duo’s sound is relentless and abrasive, constantly warping and folding over itself; the band drops in stuttering, prickly and popping percussion layered overtop post-punk inspired monotone vocals and grimy synths, making for a sound that hits hard and seems designed to be experienced live. »
Pop Montreal Preview – September 25th & 26th, FastOneLast.com
« Laissez-nous sortir légèrement de notre ligne éditoriale afin de vous présenter le chaleureux entretien que nous avons réalisé avec un duo que nous apprécions particulièrement. C’est par une magnifique soirée de fin d’été que nous nous sommes rendus en plein cœur du quartier chinois pour rencontrer Ma-Au et Zéa de La Fièvre. Malgré l’ambiance plutôt effervescente qui régnait au centre-ville, nous avons réussi à discuter ouvertement de la captivante histoire derrière le projet et de ses deux sympathiques membres. »
Louis Paulhus, [Entrevue] La Fièvre, Mes enceintes font défaut
« Performing third in the line-up was La Fièvre, a dark pop duo with electric energy on stage. The duo is a manifestation of saturday night fever »
« With Beaulieu-April at the mic and Ma-Au Leclerc at the sound mixer board, the pair created an eerie sensation as they add an “experimental touch” to hip hop music. »
Nador Froundjian, Femme Fronted Hot Tramp Festival Makes A Rocking Debut, The Link
2019 – LANCEMENT LA MARGE SURVIVANTE
« Le duo La Fièvre a laissé filer près de deux ans avant d’offrir de nouvelles compositions. Deux pièces, pour autant d’années de silence Bandcamp. A priori, c’est peu, mais il s’agit ici – au figuré et littéralement – de pièces de résistance. »
« Pour notre plus grand bonheur, les femmes reprennent là où elles nous avaient laissés avec l’ultime Nous reculons. De tous les aromates impliqués sur le précédent album Le Rituel, c’est en effet l’abrasif qui a cette fois fouetté leur créativité. La marge survivante est un diptyque moins coloré, mais combien plus cohésif. »
« Voilà exactement les deux atouts de ce trop court amuse-tympan : une capitalisation sur le caractère revendicateur, art punk, approché en première offrande et un travail instrumental intelligent, racé. À y penser, La Fièvre chaufferait bien la salle en première partie de Gazelle Twin circa ’14, avec qui elle partage le gène de la créativité déjantée, côté malaise. Mélodies orientales, feed-back, grosses strings, basses pop-punk qui rappellent The Faint au sommet de sa gloire, triturations compressées à fond façon Vitalic… Tout ça brassé à quatre mains dans le chaudron, pour une concoction étonnamment digeste grâce à un mix juste assez dépouillé. »
Joel Lelièvre, La Fièvre : mains froides, front chaud, Le Mouton Noir
« Ma-Au et Zéa se connaissent depuis le berceau. Complices en musique et en sorcellerie depuis une douzaine d’années, le duo qu’elles forment, La Fièvre, a révélé en mai dernier deux titres sombres et dansants dans un double nommé La marge survivante. Dans le premier morceau, La marge le tandem québécois fait un pied de nez à leurs détracteurs qui tentent de les étiqueter. Avec le deuxième, La survivante, elles livrent une poésie teintée de sororité, en soutien aux femmes victimes de violences sexuelles: «La honte change de camp, la peur change de camp». Ces chansons complèteront bientôt un album en gestation. »
Charlotte Mercille, Bouillon de poulet pour l’âme version épicée – L’irrévérencieuse entrevue bouffe avec La Fièvre, Baron Mag
2017 – LE RITUEL
« Le Rituel, the debut effort from Rimouski/Montreal duo La Fièvre (Ma-Au Leclerc & Zéa Beaulieu-Apri) plays out as a self-empowering feminist ritual. There are feverish glimpses of blood and water; dogs and wolves; hands and hair; herbs and intoxicating substances; the full moon and the cold sea and downtown Montreal. It is as much a poetry collection as it is a synth-pop album, or to use the sonic description La Fièvre use, a witch-pop album. »
« Vivid imagery and wordplay are the album’s greatest strengths, no surprise since Beaulieu-April is a published poet. Carefully chosen synth sounds, the intimations of a unique vocal style, and depth of meaning make this is a great album for introverted feminist witches to explore. »
Dominique Lemoine, Review – « Le Rituel » – La Fièvre, Grayowl Point
2016 – PERFORMANCES
« nous aurons surtout été marqués par notre rencontre avec le duo montréalais La Fièvre (Ma-Au Leclerc et Zéa Beaulieu-April) qui propose une pop électronique hargneuse et exploratrice qui emprunte beaucoup, dans ses structures rythmiques et sa manière d’incarner le texte (en français), l’énergie du rap. Devant une trentaine de spectateurs, au Studio Rialto, le duo a fait belle figure.»
Philippe Renaud, Pop Montréal 2016 : pas encore seize ans, Le Devoir
« Il s’agit d’une musique mélodique, mais viscérale qui puise dans la tourmente pour en extraire une beauté alchimique. »
Charle Dorion, Camuz
RADIOS
« C’est très très très deep et à la fois intense, mais sans être trop intense. C’est dansant, c’est mélancolique, c’est un peu revendicateur. […] C’est très lourd. J’adore. »
Entrevue, La Beatmakerie, CISM
22 juin, 2019
Entrevue, Ashes to Ashes, CJLO
18 juillet 2017
LES CHANSONS
Écoféministe : «La Fièvre, et oui, encore La Fièvre! Comment passez sous silence la parution de cet explosif et sympathique single? Écoféministe propose une nouvelle composition fidèle aux couleurs et aux sonorités du duo, tout en ajoutant un peu d’humour pour nous faire sourire malgré le sérieux des enjeux abordés. Une autre réussite signée Ma-Au et Zéa! » – Louis, Coups de coeur 30 août, Mes enceintes font défaut
Goddess : « Non, vous ne rêvez pas! La Fièvre et Backxwash qui s’allient le temps d’un single, on ne pouvait demander mieux! L’union entre deux des projets les plus percutants et talentueux de Montréal répond aux attentes avec une composition bien sentie et entraînante! En espérant que cette collaboration ne s’arrête pas de sitôt! » – Louis, Coups de coeur 7 juin, Mes enceintes font défaut
Faudra faire mieux : « Une des belles surprises du mois vient du côté de La Fièvre qui arrive avec une tonne d’énergie sur Faudra faire mieux. Non seulement musicalement c’est intéressant, mais en plus le duo a un don pour les mélodies efficaces qui restent en tête. » – Louis-Phillipe Labrèche, Les chansons marquantes d’avril 2020, Le Canal Auditif
« La Fièvre est de retour avec un timing qui aurait difficilement être plus à point. Plus percutantes que jamais Ma-Au et Zéa lancent Faudra faire mieux, morceau aussi entraînant que percutant. Laissez-vous emporter par La Fièvre, parce cette fièvre-là, on ne s’en lasse jamais!» – Louis, Coups de coeur 19 avril, Mes enceintes font défaut
« Une chose qui n’est pas louche, c’est la dégaine puissante de duo qui arrive avec sa première pièce : Faudra faire mieux. La Fièvre, c’est Zéa Beaulieu-April et Ma-Au Leclerc. La paire propose une électro-pop avec de grosses influences hip-hop. Les deux femmes ont même un petit quelque chose de Death Grips. On sent l’urgence et la hargne dans leur création. » – Louis-Phillipe Labrèche, Primeur : Faudra faire mieux, Le Canal Auditif
La Chienne : « La Chienne (the female dog) is a take about a dog feeling powerless, frustrated as she realises she is not in fact the master of her world, but shi is on a leash as she watches men around her access things she cannot! I know the feeling!! J’adore! » – Lina, Ladies First CHUO 89.1 FM
Les érables rouges: « Les érables rouges » ralentit la cadence et présente une structure plus atypique où un pouls d’incantation, presque sensuel, façon r’n’b 2.0, se précipite finalement vers un point d’orgue dansant, extatique. » – Joël Lelièvre, Le Mouton Noir
Sans rêve : « Mid-way through the album is a liminal moment. “Sans rêve” (without dreams) languishes over a drone tone, heavy bells, and distorted synth bass. Bursts of intense emotion are interspersed throughout agonizing ennui (as depicted on the album cover). At the end of the song, Beaulieu-April repeats the lyrics “hesitating to give oneself and fearing what will follow”, before being delightfully taken over by an intense, brief synth solo. I’d love to hear more musical inventiveness like this from La Fièvre. » – Dominique Lemoine, Grayowl Point
Gauchetière : « With “Gauchetière”, we go down deeper into the darkness of the occult. Here is where La Fièvre takes back their power. While Gauchetière is the name of a Montreal street, “gauche” is surely also a reference to the “left” path in Western esoterism – that is, black magic. The accompaniment is dark yet fun, holding its own while effectively keeping the focus on the sing-songy vocals. » – Dominique Lemoine, Grayowl Point
Nous reculons : « Le Clip de l’Instant, [Nous Reculons], propose une fresque poétique en images quelque peu troublantes sur un fond de textes articulés qui frappent l’imaginaire. Plus qu’un simple exercice de style, plutôt une prise de position artistique sur la condition humaine. » – Le boulimique de musique
« Nous reculons » catalyse tout le morfil et la détermination de La Fièvre. Gorgé d’urgence, limite paranoïaque, il se prête parfaitement au timbre un peu éteint de Zéa. Trent Reznor approuverait. » – Joël Lelièvre, Le Mouton Noir